
Avez-vous déjà songé à la compatibilité sexuelle ? Difficile de la décrire non ? C’est normal. Bien qu’il s’agisse de…
Souvenez-vous que le temps que vous vous consacrez doit être du temps de qualité et vous ne devez pas l'occuper en écoutant les autres, ou en vous inquiétant. Réservez-vous une heure par jour pour prendre soin de vous-même.
Vous avez besoin de temps pour vous, mais vous avez tendance à le dédier à ceux qui vous entourent ou à l’investir dans des situations qui accentuent encore plus votre sensation de fatigue et d’anxiété ?
Même si cela vous surprend, la plupart des personnes ne savent pas comment se reposer correctement.
Se consacrer du temps ne signifie pas que nous devons partir en vacances à chaque fois que nous nous sentons asphyxié par le stress, ou qu’une simple promenade nous suffise pour résoudre ce mal être qui nous envahit un peu plus chaque jour.
Investir du temps pour vous implique tout d’abord de “déconnecter”, de savoir éteindre le bruit mental et d’établir une union délicate mais authentique avec nos besoins, nos pensées, nos peurs et nos vides pour prendre des décisions sur notre vie.
Aujourd’hui, dans cet article, nous allons vous expliquer de quelle manière on extériorise ce mal être intérieur, ces dimensions psychologiques qui nous montrent le besoin d’investir un peu plus en nous-même.
Souvent, lorsqu’arrivent les vacances, beaucoup d’entre nous préparons nos voyages, nos moments de loisirs et nos escapades en pensant que nous allons nous sentir mieux que jamais.
Pourtant, cette supposée “règle indéfectible” ne s’applique pas toujours.
Sortir de la routine intensifie parfois le stress : les voyages, les préparatifs, les réunions familiales, le besoin de programmer chaque jour pour “profiter du temps”.
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De plus, considérez que ce temps pour vous, qui vous aiderait à vous sentir mieux à un moment donné, vous le partagez avec d’autres personnes : conjoint, enfants, famille…
Parfois, quelque chose d’aussi simple que se consacrer deux heures quotidiennes à soi est la meilleure des vitamines.
Voyons à présent quelles sont les dimensions psychologiques qui nous démontrent que nous avons peut-être atteint la limite de nos forces.
Chacun d’entre nous pouvons passer par ces moments où tout nous embête, où nous sommes de mauvaise humeur et où rien ne nous intéresse.
Cela peut être des journées ponctuelles, mais le problème prend une autre dimension lorsque cette sensation s’allonge dans le temps et devient chronique.
Se lever tout le temps avec la sensation que nous n’allons pas réussir à aller au bout de la journée, que nous allons à contre-courant, que ceux qui nous entourent ont des priorités qui ne s’emboîtent pas avec les nôtres…
Ces aspects sont la preuve, sans aucun doute, que le mal être nous envahit.
Quand la mauvaise humeur devient quasiment ce souffle de vie duquel nous ne pouvons nous détacher, c’est que quelque chose se passe en nous.
Ce phénomène de temps perdu est un symptôme très commun, lié à l’anxiété.
Il ne s’agit pas d’avoir la sensation que nous n’allons pas pouvoir faire tout ce que nous avons en tête, mais en plus, nous avons l’impression que de petites périodes de temps se sont écoulées, entre une demi-heure et une heure, durant lesquelles nous ne savons pas ce qu’il s’est passé ou ce que nous avons fait.
Il est fréquent de ressentir cela lors des périodes accrues de stress et d’anxiété.
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Quoi que l’on fasse, tout va mal se passer. Cette perte d’auto-confiance fait que nous avons souvent l’idée que tout échappe à notre contrôle, que même si nous nous efforçons, rien ne dépend de nous.
C’est une réalité frustrante qui révèle un indicateur clair auquel nous devons prêter plus d’attention. Placez-vous en priorité, consacrez-vous du temps.
Nous le signalions dans les paragraphes précédents : le monde va à contre-courant et c’est comme si ceux qui nous entourent se considéraient comme prioritaires, pensant que nous devons toujours être là pour eux.
Que lorsqu’ils ont besoin d’air, nous leur donnions de l’air ; que quand ils veulent marcher, nous placions un sol sous leurs pieds.
Le fait de ne pas avoir de temps pour soi, de ne pas disposer d’espaces propres où penser, où nous détendre pour débuter un dialogue intérieure, pour découvrir quelles sont nos priorités et pouvoir penser aux changements que nous devrions faire, fait que notre corps réagisse et présente les symptômes suivants :
Les vacances ne suffisent pas. Il ne faut pas attendre le vendredi pour être heureux ni les vacances pour être quelqu’un.
Le meilleur moment, c’est maintenant !
Et c’est à votre portée !