7 habitudes qui nous volent de l'énergie

Chaque être humain a une énergie assignée, il est de notre devoir de l'utiliser correctement et d'apprendre à ne pas la gaspiller sans en obtenir un bénéfice.
7 habitudes qui nous volent de l'énergie
Nelton Abdon Ramos Rojas

Rédigé et vérifié par le médecin Nelton Abdon Ramos Rojas.

Dernière mise à jour : 10 août, 2022

Si vous sentez que voter énergie diminue, cet article est pour vous.

Nous avons la capacité de garder notre calme sous la pression grâce à un ensemble de compétences telles que la patience, la persévérance et, bien sûr, l’intellect.

Mais que se passe-t-il quand il existe un déséquilibre ? L’énergie joue un rôle très important dans nos activités mais elle se maintient difficilement élevée au long de la journée.

Il est important de mettre en place un plan pour exercer un meilleur contrôle, en tenant compte du temps que nous consacrons à chacune de nos activités, afin d’être plus efficace et productif.

Il s’agit de mettre en balance les aspects physiques et émotionnels pour atteindre un état de santé complet.

La clé est de travailler en harmonie, au rythme dicté par notre cerveau et notre corps, de ne pas exiger ce que nous ne pouvons donner.

Nous sommes tellement habitués à travailler pendant des heures sans repos que nous ne savons même pas comment agir avant le temps libre.

Nous luttons pour accomplir plusieurs tâches, en laissant certaines inachevées.

Voilà les habitudes qui nous volent notre énergie:

Vous êtes un moyen d’évacuer

comment ne pas se faire voler son énergie

Il existe des personnes toxiques qui nous utilisent pour se débarrasser de leurs problèmes, de leurs aversions, de leurs peurs et de leurs frustrations.

Il est préférable de ne pas les laisser vous remplir de cette mauvaise énergie, du moins pas tout le temps, car inconsciemment, elles affectent votre quotidien.

Vous avez le pouvoir de choisir dans votre monde avec qui vous souhaitez passer du temps. Peu importe votre affection pour cette personne, si elle interfère avec votre développement personnel, il est temps pour vous de partir.

Cela fait partie du système naturel, chaque personne qui vous entoure ne fait que deux choses : elle vous aide à grandir ou à couler.

Même avec de bonnes intentions, cela ne veut pas dire qu’elles vous font du bien. Commencez à réduire le temps que vous passez avec ces personnes.

Vous ne tenez pas vos promesses

Pourquoi n’avez-vous pas tenu vos promesses ? Il est clair que vous auriez pu changer d’avis en chemin, mais agissez, ne fuyez pas vos responsabilités.

Si vous ne voulez plus le faire, offrez une deuxième option et négociez à nouveau.

Retardez l’usure inévitable. Rendez-vous en compte à temps pour que les autres vous prennent au sérieux.

Le temps est venu de dire assez, et rien ne se passe. Il est préférable de dire ce que vous ressentez que d’avoir à supporter ces conséquences pendant des années.

Vous n’avez pas de priorités

comment ne pas perdre son énergie à cause de mauvaises habitudes

Que voulez-vous vraiment dans votre vie ? Trouvez ce qui vous remplit émotionnellement et physiquement pour que vous puissiez vous reposer facilement.

Remplir votre agenda de tâches absurdes ne fait que vous faire perdre le contrôle, et à la fin, vous finirez par satisfaire les besoins des autres. Peu importe ce qui vous rend heureux.

Il est bon de respirer, d’observer le moment et d’analyser les zones d’opportunités. Rappelez-vous que chaque être vivant a besoin de pauses pour grandir.

Si vous agissez sans intérêt, tout ce que vous faites c’est jeter de l’énergie qui ne reviendra pas.

Votre maison est en désordre et votre énergie au plus bas

Dans un espace propre, bien rangé et clair, vous vous sentirez beaucoup plus à l’aise. Un endroit embarrassé de choses que vous n’utilisez pas provoque anxiété et apathie.

Cependant si vous voulez repartir à zéro, la première chose à faire est de donner vie à votre maison, de jeter les choses qui vous privent d’énergie. N’oubliez pas : moins c’est plus.

Transformez votre maison en cet endroit où vous voulez toujours aller, où vous respirez de bonnes vibrations et pouvez vous détendre sans tomber dans la dépression.

Vous n’écoutez pas votre corps

 

Par la monotonie des jours, nous oublions que nous sommes des êtres vivants. Nous soumettons notre corps à de longs horaires, à la pression et au stress, sans écouter ce qu’il nous dit.

Ainsi, il est pratiquement impossible de suivre face à une telle demande. Vous devez prendre l’air frais, méditer et faire de l’exercice pour éliminer les toxines.

En attendant, manger un régime riche en vitamines, minéraux et nutriments est essentiel pour nous garder en bonne santé.

Vous menez une vie sédentaire

A quelle fréquence bougez-vous ? Peu importe que vous passiez beaucoup de temps au bureau, n’habituez pas votre corps à rester assis. Si vous le faites, la fonction de votre organisme entre dans un cercle vicieux d’apathie.

Cependant, lorsque vous commencez à vous déplacer et à faire au moins 30 minutes de marche par jour, la libération d’endorphines augmente le niveau d’énergie qui vous gardera alerte.

Vous vous inquiétez trop

 

S’inquiéter des problèmes quotidiens est normal. Cependant, cela devient alarmant quand vous ne pouvez pas contrôler l’inquiétude. L’inquiétude est ce qui dirige les émotions.

Cela se manifeste par des symptômes tels que :

  • L’agitation
  • La fatigue
  • Une tension musculaire
  • L’irritabilité
  • L’insomnie

Cela arrive lorsqu’il y a plus d’activité dans l’hémisphère cérébral gauche, c’est à dire que la pensée logique et rationnelle fonctionne sans arrêt.

C’est ce à quoi le patient devrait faire face qui cause la peur et renforce son estime de soi.

Laissez tomber le passé ! Et organisez votre avenir pour maintenir votre énergie.

 


Toutes les sources citées ont été examinées en profondeur par notre équipe pour garantir leur qualité, leur fiabilité, leur actualité et leur validité. La bibliographie de cet article a été considérée comme fiable et précise sur le plan académique ou scientifique


  • Afari, N., & Buchwald, D. (2003, February). Chronic fatigue syndrome: A review. American Journal of Psychiatry.
  • Fukuda, K., Straus, S. E., Hickie, I., Sharpe, M. C., Dobbins, J. G., & Komaroff, A. (1994). The chronic fatigue syndrome: A comprehensive approach to its definition and study. Annals of Internal Medicine121(12), 953–959.
  • Hockey, G. R. J., Maule, A. J., Clough, P. J., & Bdzola, L. (2000). Effects of negative mood states on risk in everyday decision making. Cognition and Emotion14(6), 823–855.

Ce texte est fourni à des fins d'information uniquement et ne remplace pas la consultation d'un professionnel. En cas de doute, consultez votre spécialiste.